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Texte à méditer :  Soyez philosophe ; mais, au milieu de toute votre philosophie, soyez toujours un homme.  David Hume
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Hors des sentiers battus
En opprimant on devient opprimé

"En opprimant on devient opprimé."

(Simone de Beauvoir, Le Deuxième sexe, 1949, II, Deuxième partie, chapitre V, France Loisirs, 1990, p. 733)

 

  "En opprimant on devient opprimé". En faisant jouer cette formule de Simone de Beauvoir dans les œuvres du programme, vous direz dans quelle mesure une telle confrontation donne sens à ce propos et éclaire ou renouvelle votre lecture des trois textes.

 

Remarque : j'ai volontairement cité des paragraphes entiers, afin de vous replonger précisément dans les oeuvres. Bien entendu, dans une copie de concours, il faudra simplement résumer l'idée contenu dans le paragraphe, de manière claire et précise.

 

Introduction

Entrée en matière : Si l'on en croit Platon, tout tyran révèle le malheur qui est le sien, esclave qu'il est de ses passions et éternel insatisfait.

Énoncé du sujet :  Est-ce ce qui amène Simone de Beauvoir à affirmer, dans son livre Le Deuxième sexe, qu' "en opprimant on devient opprimé ?

Problématique : (Problème 1) Une telle affirmation ne manque pas d'être paradoxale. En effet, si l'oppresseur est le plus fort, et l'opprimé le plus faible, comment l'oppresseur pourrait-il être opprimé ? De plus, si l'on considère que l'oppresseur a l'initiative de l'oppression, et qu'il y trouve par définition un intérêt, comment pourrait-il accepter une telle situation s'il devient lui-même opprimé ? Affirmer qu'en opprimant on devient opprimé n'est-il pas en vérité d'un moyen pour l'oppresseur de se dédouaner de l'injustice dont il est l'auteur ? (Problème 2) : Toutefois, l'oppresseur ne peut-il pas malgré tout devenir lui-même victime du système d'oppression dont il est censé bénéficier ? En soumettant à une autorité excessive et injuste, en persécutant par des mesures de violence, ne subit-on pas à un moment ou un autre le contrecoup de notre cruauté ? Problème 3 : Plus encore, tout oppresseur ne peut-il pas devenir son propre esclave, dans la mesure où la relation oppressive suscite des passions (désir de domination, peur, etc.) auxquelles il se retrouve asservi ?

Annonce du plan : Dans une première partie, nous verrons que les différentes formes d'oppression apparaissent à sens unique, autrement dit que l'oppresseur opprime, tandis que l'opprimé est opprimé, et que par conséquent, il semble difficile d'imaginer un oppresseur opprimé. Cependant, nous nous demanderons dans une deuxième partie s'il ne peut exister une dépendance du maître et une liberté de l'esclave, de sorte que toute oppression ne serait pas aussi unilatérale qu'il n'apparaît au premier abord. Enfin, nous montrerons dans une dernière partie que l'oppresseur peut effectivement devenir opprimé, qu'il soit victime lui-même de la domination qu'il exerce, ou bien des passions auxquelles il ne peut échapper.

 

  1. La force de l'oppression

 

  Dans la lettre XXXVIII des Lettres persanes, Rica fait état de la tyrannie que les femmes exercent sur les hommes :

 

"Or, s'il est vrai que nous n'avons sur les femmes qu'un pouvoir tyrannique, il ne l'est pas moins qu'elles ont sur nous un empire naturel, celui de la beauté, à qui rien ne résiste. Le nôtre n'est pas de tous les pays ; mais celui de la beauté est universel."[1]

 

Toutefois, ne s'agit-il pas là d'un moyen de se dédouaner de la domination que les hommes exercent effectivement sur les femmes et se justifier du fait que "la loi naturelle soumet les femmes aux hommes"[2] ?

 

  1. Une oppression à sens unique

 

  Dans la fable du "Loup et l'agneau", La Fontaine illustre la nature première de l'oppression. Comme il l'avait annoncé, le loup châtie l'agneau de son impudence, faisant fi de ses justifications ("Le Loup l'emporte, et puis le mange, sans autre forme de procès."). Il fait ainsi prévaloir la "raison du plus fort", laquelle se révèle non pas la meilleure (quoiqu'en dise, ironiquement, le début de la fable), mais bel et bien la plus forte. Ici, nous avons affaire à un oppresseur dont on peine à voir comment il pourrait paraître en retour opprimé.

  De même, dans les Lettres persanes, Usbek souligne, à propos de ses femmes, "leur extrême dépendance"[3]. Le premier eunuque se dit être né pour commander les femmes du sérail (Lettre IX).

  De même, à propos de ses eunuques, Usbek écrit :

 

  "Et qui êtes-vous, que de vils instruments que je puis briser à ma fantaisie ; qui n'existez qu'autant que vous savez obéir ; qui n'êtes dans le monde que pour vivre sous mes lois, ou pour mourir dès que je l'ordonne ; qui ne respirez qu'autant que mon bonheur, mon amour, ma jalousie même, ont besoin de votre bassesse ; et enfin qui ne pouvez avoir d'autre partage que la soumission, d'autre âme que mes volontés, d'autre espérance que ma félicité ? "[4]

 

  Dans la pièce d'Ibsen, Une maison de poupée, Torvald résume dans son attitude et ses propos la domination masculine et la soumission féminine au sein du couple. Il traite sa femme comme un animal ou un jouet (une poupée) et il ne cesse de l'infantiliser. On peut affirmer que Torvald opprime Nora dans la mesure où il l'empêche de s'exprimer, de se manifester. Tout traduit ainsi l'emprise physique et psychologique de Torvald sur sa femme. Il dit même aimer les incapacités de Nora, ce qui revient à dire qu'il aime chez elle son infériorité :

 

"Tu m'as aimé comme une femme doit aimer son mari. […] Mais crois-tu que tu me sois moins chère parce que tu ne sais pas être autonome ? Non, non ; repose-toi sur moi ; je te conseillerai ; je te guiderai. Je ne serais pas un homme si tes incapacités toutes féminines ne te rendaient doublement séduisante à mes yeux."[5]

 

La femme n'est de ce point de vue que la propriété de l'homme, propriété que redouble le pardon que Torvald dit vouloir donner à Nora :

 

"Elle est, par là [le pardon], devenue doublement sa propriété ; il l'a pour ainsi dire mise au monde une nouvelle fois ; elle est en quelque sorte à la fois sa femme et son enfant."

 

Autre signe de l'oppression masculine : la parole féminine ne pèse rien par rapport à celle de l'homme. ("Mais quel poids ma parole aurait-elle eu face à la tienne ?"[6])

  Enfin, le Discours de la servitude volontaire confirme l'unilatéralité de la domination. Certes, le tyran "est gardé par ceux desquels il devrait se garder"[7]. Cependant, ceux-ci sont tellement avilis, qu'ils n'ont même plus ne serait-ce que le désir de se révolter.

  Le pouvoir du tyran apparaît total, en s'appuyant d'abord sur l'habitude, puis sur la lâcheté des individus, enfin, sur les individus eux-mêmes : "le secret et le ressort de la domination, le soutien et le fondement de toute tyrannie"[8], c'est qu' "il se trouve presque un aussi grand nombre de ceux auxquels la tyrannie est profitable, que de ceux auxquels la liberté serait utile"[9] et que "c'est ainsi que le tyran asservit les sujets les uns par les autres"[10].

 

  1. L'opprimé devient oppresseur

 

  Plus encore, si l'opprimé devient oppresseur, ce n'est pas au sens où il inverserait les rôles, mais au sens où il opprime à son tour "un plus petit que soi".

Cf. les gardes du tyran décrits par la Boétie :

 

"ces misérables, maudits de Dieu et des hommes, se contentent d’endurer le mal, pour en faire, non à celui qui le leur fait, mais bien à ceux qui, comme eux, l’endurent et n’y peuvent rien."[11]

 

Cf. les eunuques :

 

"Mais, par un retour d’empire, tu commandes en maître comme moi-même, quand tu crains le relâchement des lois de la pudeur et de la modestie."[12]

 

Ainsi, l'eunuque passe "d'une servitude où [il devait] toujours obéir, pour entrer dans une servitude où [il devait commander."[13]

 

  1. Dépendance du maître et liberté de l'esclave (partie facultative)

 

  Il semble toutefois que dans la relation maître/esclave, comme le développe la dialectique hégélienne, les rôles finissent par s'inverser.

 

  1. La dépendance du maître

 

Cf. La Boétie : s'ils le voulaient, les hommes renverseraient le tyran. En d'autres termes

 

Comme le souligne Usbek à propos des despotes orientaux, leur pouvoir est d'une extrême fragilité :

 

"Rien ne rapproche plus nos princes de la condition de leurs sujets, que cet immense pouvoir qu'ils exercent sur eux ; rien ne les soumet plus aux revers, et aux caprices de la fortune."[14]

 

Cf. l'histoire d'Ibrahim, que ses femmes ne veulent plus reconnaître comme leur mari (lettre CXLI)

 

Cf. Torvald apparaît dépendant de Nora, qui s'occupe des tâches domestiques, et notamment de l'éducation des enfants.

 

  1. La liberté de l'esclave

 

Cf. Roxane et son indépendance d'esprit ; Nora est sa volonté de libération

 

Problème : la dépendance de l'oppresseur à l'égard de l'opprimé n'en fait pas un opprimé à son tour (être dépendant ne signifie pas être opprimé), et ce n'est pas parce que l'opprimé se libère qu'il devient pour autant un oppresseur.

 

  1. L'oppresseur opprimé

 

  1. Le renversement des rôles

 

  Les rôles peuvent être renversés. C'est le cas d'Ibrahim dans l'histoire raconté par Zuléma (lettre 141). Cruel envers les femmes de son sérail et allant jusqu'à tuer sa femme Anaïs, il subira la vengeance de celles-ci, et sera chassé de son propre sérail.

 

  1. L'oppresseur victime du système d'oppression

 

  Cf. les proches du tyran. Certes, les courtisans profitent du pouvoir que leur confère le tyran, et ils "foulent aux pieds"[15] et "traitent comme des forçats"[16] les villageois ou paysans. Cependant, ils n'oppriment qu'au nom de leur propre oppression :

 

"Car, à vrai dire, s'approcher du tyran, est-ce autre chose que s'éloigner de la liberté et, pour ainsi dire, embrasser et serrer à deux mains la servitude ?"[17]

 

De sorte qu'ils apparaissent moins libres que ceux qu'ils oppriment eux-mêmes :

 

"ils verront, dis-je, que ceux-là, ils verront, dis-je, que ceux-là, ainsi malmenés, sont toutefois, au prix d’eux, fortunés et aucunement libres. Le laboureur et l’artisan, pour tant qu’ils soient asservis, en sont quittes en faisant ce qu’ils ont dit ; mais le tyran voit les autres qui sont près de lui, coquinant et mendiant sa faveur : il ne faut pas seulement qu’ils fassent ce qu’il dit, mais qu’ils pensent ce qu’il veut, et souvent, pour lui satisfaire, qu’ils préviennent encore ses pensées. Ce n’est pas tout à eux que de lui obéir, il faut encore lui complaire"[18].

 

Contrairement au peuple qui se contente d'obéir aux ordres du tyran, ses proches doivent se soumettre entièrement à ses désirs, jusque dans leur propre manière de penser. Ils sont donc à sa merci, sans pouvoir aucunement compter sur son aide :

 

"Mais les favoris d'un tyran ne peuvent jamais compter sur lui parce qu'ils lui ont eux-mêmes appris qu'il peut tout, qu'aucun droit ni devoir ne l'oblige, qu'il est habitué à n'avoir pour raison que sa volonté, qu'il n'a pas d'égal et qu'il est le maître de tous."[19]

 

  Comme s'en étonne Rica dans les Lettres persanes, "chez les peuples polis, les femmes ont toujours eu de l'autorité sur leurs maris"[20]. Plus généralement, on peut considérer, à l'instar de Simone de Beauvoir, que les femmes exercent, à travers le mariage, une forme d'oppression sur leur mari.

  Dans le sérail, les eunuques sont tenus d'accéder aux désirs des femmes qu'ils surveillent, car ils restent eux-mêmes soumis à la loi de leur maître :

 

"Tu leur commandes, et leur obéis ; tu exécutes aveuglément toutes leurs volontés, et leur fais exécuter de même les lois du sérail ; tu trouves de la gloire à leur rendre les services les plus vils ; tu te soumets, avec respect et avec crainte, à leurs ordres légitimes ; tu les sers comme l’esclave de leurs esclaves."[21]

 

Le premier eunuque écrit à Ibbi :

 

"Je suis accablé sans cesse d'ordres, de commandements, d'emplois, de caprices […] Il faut, dans ces occasions, une obéissance aveugle et une complaisance sans bornes : un refus dans la bouche d'un homme comme moi serait une chose inouïe ; et si je balançais à leur obéir, elles seraient en droit de me châtier."[22]

 

  De même, la religion (qu'elle soit juive, musulmane ou chrétienne), en justifiant la domination que les hommes exercent sur les femmes, sert de moyen d'oppression à l'oppresseur, mais opprime ce dernier en retour :

 

"Je ne trouve rien de si contradictoire que cette pluralité des femmes permise par le saint Alcoran, et l'ordre de les satisfaire ordonné par le même livre. Voyez vos femmes, dit le prophète, parce que vous leur êtes nécessaire comme leurs vêtements, et qu'elles vous sont nécessaires comme vos vêtements. Voilà un précepte qui rend la vie d'un véritable musulman bien laborieuse. Celui qui a les quatre femmes établies par la loi, et seulement autant de concubines et d'esclaves, ne doit-il pas être accablé de tant de vêtements ?

    Vos femmes sont vos labourages, dit encore le prophète ; approchez-vous donc de vos labourages : faites du bien pour vos âmes ; et vous le trouverez un jour.

    Je regarde un bon musulman comme un athlète, destiné à combattre sans relâche ; mais qui bientôt, faible et accablé de ses premières fatigues, languit dans le champ même de la victoire ; et se trouve, pour ainsi dire, enseveli sous ses propres triomphes."[23]

 

Autre exemple : l'aliénation par l'argent dans Une maison de poupée (p. 12). Comme le formule Torvald :

 

"C'est incroyable ce qu'il en coûte à un homme d'entretenir une linotte."[24]

 

Parce qu'il subvient aux besoins du ménage, Torvald exerce une domination sur Nora, qui se trouve dépendante de lui, mais en retour, Torvald se retrouve dans l'obligation de gagner l'argent nécessaire (d'où l'importance du poste de directeur de la banque qu'il vient d'obtenir).

 

  1. L'homme esclave des passions

 

  Le tyran est soumis à une peur constante. Cf. La Boétie, évoquant et reprenant à son compte les propos de Xénophon dans le Hiéron :

 

"Ce traité parle de la peine qu'éprouvent les tyrans, qui, nuisant à tous, sont obligés de craindre tout le monde."[25]

 

  Dans la lettre IX des Lettres persanes, le premier eunuque décrit à Ibbi comment il fut, dans sa jeunesse passée au sein du sérail, esclave de ses passions, et à la merci des femmes qu'il devait garder :

 

"Malheureux que j'étais ! Mon esprit préoccupé me faisait voir le dédommagement, et non pas la perte : j'espérais que je serais délivré des atteintes de l'amour par l'impuissance de le satisfaire. Hélas ! On éteignit en moi l'effet des passions, sans en éteindre la cause ; et, bien loin d'en être soulagé, je me trouvai environné d'objets qui les irritaient sans cesse. J'entrai dans le sérail, où tout m'inspirait le regret de ce que j'avais perdu : je me sentais animé à chaque instant ; mille grâces naturelles semblaient ne se découvrir à ma vue que pour me désoler ; pour comble de malheurs, j'avais toujours devant les yeux un homme heureux. Dans ce temps de trouble, je n'ai jamais conduit une femme dans le lit de mon maître, je ne l'ai jamais déshabillée, que je ne sois rentré chez moi la rage dans le cœur, et un affreux désespoir dans l'âme."[26]

 

Zélis, quant à elle, souligne le fait qu'Usbek est esclave de ses désirs :

 

"Dans la prison même où tu me retiens, je suis plus libre que toi : tu ne saurais redoubler tes attentions pour me faire garder, que je ne jouisse de tes inquiétudes; et tes soupçons, ta jalousie, tes chagrins, sont autant de marques de ta dépendance."[27]

 

C'est d'ailleurs, selon le chef des eunuques noirs, la raison des désordres au sein du sérail :

 

"Veux-tu que je te découvre, magnifique seigneur, la cause de tous ces désordres ? Elle est toute dans ton cœur, et dans les tendres égards que tu as pour elles."[28]

 

Et Usbek lui-même admet qu'il se retrouve à la merci de ses passions :

 

"J'irai m'enfermer dans des murs plus terribles pour moi que pour les femmes qui y sont gardées ; j'y porterai tous mes soupçons ; leurs empressements ne m'en déroberont rien ; dans mon lit, dans leurs bras, je ne jouirai que de mes inquiétudes ; dans un temps si peu propre aux réflexions, ma jalousie trouvera à en faire. Rebut indigne de la nature humaine, esclaves vils dont le cœur a été fermé pour jamais à tous les sentiments de l'amour, vous ne gémiriez plus sur votre condition, si vous connaissiez le malheur de la mienne."[29]

 

Torvald est quant à lui victime de son honneur. C'est son honneur qu'il prétend défendre en reniant Nora lorsqu'il apprend qu'elle a commis un faux en écriture ("Tu as détruit tout mon honneur"[30]). Nora souligne elle-même cette aliénation due à l'amour-propre masculin :

 

"Lui qui est si strict sur ce point ! Et d'ailleurs – Torvald avec son amour-propre masculin –, ce serait pénible et humiliant pour lui de savoir qu'il me doit quelque chose."[31]

 

Autre exemple : Pyrrhus, qui apparaît dans Andromaque, la pièce de Racine, plus esclave par son amour que sa prisonnière elle-même.


[1] Lettres persanes, Lettre XXXVIII, GF, 1995, p. 98.

[2] Lettres persanes, Lettre XXXVIII, GF, 1995, p. 98.

[3] Lettres persanes, Lettre II, GF, 1995, p. 40.

[4] Lettres persanes, Lettre XXI, GF, 1995, p. 71.

[5] Une maison de poupée, Acte III, Babel, 2016, p. 126.

[6] Une maison de poupée, Acte III, Babel, 2016, p. 135.

[7] Discours de la servitude volontaire, Petite Bibliothèque Payot, 2005, p. 234.

[8] Discours de la servitude volontaire, Petite Bibliothèque Payot, 2005, p. 231.

[9] Discours de la servitude volontaire, Petite Bibliothèque Payot, 2005, p. 233.

[10] Discours de la servitude volontaire, Petite Bibliothèque Payot, 2005, p. 234.

[11] Discours de la servitude volontaire, Petite Bibliothèque Payot, 2005, p. 234.

[12] Lettres persanes, Lettre II, GF, 1995, p. 40.

[13] Lettres persanes, Lettre XV, GF, 1995, p. 63.

[14] Lettres persanes, Lettre CII, GF, 1995, p. 206.

[15] Discours de la servitude volontaire, Petite Bibliothèque Payot, 2005, p. 234.

[16] Ibid.

[17] Discours de la servitude volontaire, Petite Bibliothèque Payot, 2005, p. 234.

[18] Discours de la servitude volontaire, Petite Bibliothèque Payot, 2005, p. 235.

[19] Discours de la servitude volontaire, Petite Bibliothèque Payot, 2005, p. 241.

[20] Lettres persanes, Lettre XXXVIII, GF, 1995, p. 98.

[21] Lettres persanes, Lettre II, GF, 1995, p. 40.

[22] Lettres persanes, Lettre IX, GF, 1995, p. 51.

[23] Lettres persanes, Lettre CXIV, GF, 1995, p. 226-227.

[24] Une maison de poupée, Acte I, Babel, 2016, p. 14.

[25] Discours de la servitude volontaire, Petite Bibliothèque Payot, 2005, p. 220-221.

[26] Lettres persanes, Lettre IX, GF, 1995, p. 49.

[27] Lettres persanes, Lettre LXII, GF, 1995, p. 138-139.

[28] Lettres persanes, Lettre LXIV, GF, 1995, p. 141.

[29] Lettres persanes, Lettre CLV, GF, 1995, p. 305.

[30] Une maison de poupée, Acte III, Babel, 2016, p. 123.

[31] Une maison de poupée, Acte I, Babel, 2016, p. 30.

 


Date de création : 26/01/2017 @ 15:53
Dernière modification : 26/01/2017 @ 15:53
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